Coups de roulis
décor pour Coups de roulis
Opérette en trois actes, livret d'Albert WILLEMETZ, d'après Coups de roulis, roman (1925) de Maurice LARROUY (Oran, Algérie, 09 juin 1882* – Meung-sur-Loire, Loiret, 18 juillet 1939), musique d'André MESSAGER.
Création à Paris, Théâtre Marigny, le 29 septembre 1928 ; mise en scène d'Albert Carré ; décors de Deshayes et Arnaud.
personnages |
Théâtre Marigny, 29 septembre 1928 (création) |
Gaîté-Lyrique, 30 octobre 1934 (reprise) |
Béatrice | Mmes Marcelle DENYA | Mmes MOSTOVA |
Sola Myrrhis | MAGUY-WARNA | Mary VIARD |
Puy-Pradal | MM. RAIMU | MM. Jean AQUISTAPACE |
Gerville, capitaine de frégate | Pierre MAGNIER | J. WORMS |
Kermao, enseigne | Robert BURNIER | André GAUDIN |
Pinson, matelot ordonnance | Gustave NELSON | Robert ALLARD |
le Vice-Amiral de Saint-Mesmin | Marcel CARPENTIER | |
Bellory, commissaire | Jean DEISS | |
Muriac, médecin-major | D'ARY-BRISSAC | |
Haubourdin, lieutenant de vaisseau | Jean GUILLET | |
Blangy, ingénieur-mécanicien | ANTONY | |
Valade, enseigne | DANGELYS | |
Subervielle, enseigne | VALETTE | |
Le Kerec, quartier-maître | Ed. ROUSSEAU | |
le Représentant du Khédive | BONAL | |
Officiers du Montesquieu, Matelots, Officiers étrangers, Diplomates, Fonctionnaires égyptiens, Invités et Invitées | ||
Chef d'orchestre | Paul LETOMBE |
Catalogue des morceaux
Acte I - La salle d'armes du "Montesquieu" (la première manche) |
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01 | Introduction et Chœur | C'est Noël dans quelques jours | Kermao, Pinson, Haubourdin, Officiers et Matelots |
02 | Ensemble du "Sans fil" | Un message aussi long | Kermao, Haubourdin, Dellory, Blangy, Suberville, Muriac |
03 | Entrée de Puy-Pradal - Couplets de Béatrice | Je suis le secrétaire | Béatrice, Gerville, les Officiers |
04 | Couplets du Haut-Commissaire | Je ne sais si vous savez bien | Puy-Pradal |
05 | Couplets | C'est charmant, très parisien | Béatrice |
06 | Couplets | Quand on n'a pas le pied marin | Pinson |
07 | Duo du roulis | Qu'ai-je donc ? Je suis comme grise | Béatrice, Kermao |
08 | Finale | Eh bien ? Rien !... En amour, il n'est pas de grade | Béatrice, Kermao, Puy-Pradal, Pinson, Gerville, Haubourdin, Suberville, Dellory, Muriac, les Officiers |
Acte II - Au "Sphinx Palace" au Caire (la revanche) |
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Entr'acte | |||
09 | Chœur et Couplet | Vive, vive le Khédive ! | Béatrice, Puy-Pradal, les Officiers, Chœurs |
10 | Entrée de Sola Myrrhis - Ensemble - Couplets du faux-pas et valse | Ah ! Qu'y a-t-il ? | Sola Myrrhis, le Docteur, les Officiers, Chœurs |
11 | Couplets | Avec la danse | Puy-Pradal |
12 | Couplets de la "Princesse" | Je m'étais laissé dir' que la Révolution | Pinson |
13 | Couplets | Donnant, donnant | Sola Myrrhis |
14 | Ensemble et Couplets | Avez-vous vu ? | Béatrice, les Dames, les Officiers |
15 | Romance | Ce n'est pas la première fois | Kermao |
16 | Couplets | Tous les deux me plaisent | Béatrice |
17 | Romance | La Quarantaine | Gerville |
18 | Finale | Pardon ! D'abord où en est-on ? | Béatrice, Sola Myrrhis, Kermao, Puy-Pradal, Gerville, l'Amiral, les Invités, les Officiers |
Acte III - La passerelle du "Montesquieu" (la belle) |
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Entr'acte | |||
19 | Duo | Je prétends que c'est assez déplacé | Béatrice, Sola Myrrhis |
20 | Rondeau | Les hommes sont bien tous les mêmes | Béatrice |
21 | Couplets | Tu sais gouverner | Sola Myrrhis |
22 | Duo | Hélas ! souvent il advient | Béatrice, Kermao |
23 | Ensemble | Un sans fil ! | Béatrice, Sola Myrrhis, Kermao, Gerville, les Officiers |
24 | Final | Si la p'tit' secrétaire | Béatrice, Sola Myrrhis, Tous |
Raimu (Puy-Pradal) et Marcelle Denya (Béatrice) lors de la création
Résumé.
Le Haut Commissaire de la République, le député Puy Pradal, natif d'Auvergne, se présente, armé de pleins pouvoirs, accompagné de sonnerie de clairons et de coups de canon réglementaires, à bord du Montesquieu où il vient enquêter sur un abordage suspect et coûteux qui se produisit entre deux de nos unités de guerre par temps de brume, du côté des Dardanelles. Tout l'état-major en grande tenue du Montesquieu est réuni dans la salle d'armes pour recevoir le haut commissaire qui, en mission, a rang de vice-amiral. Le haut commissaire est suivi de sa jeune et charmante secrétaire qui est, tout en même temps, sa fille, munie elle aussi d'une commission en règle qui lui permet de séjourner sur le navire de guerre et le tout jeune enseigne Kermao met quelque mauvaise humeur à céder sa chambre à la demoiselle. Quant au très chic commandant du Montesquieu, Gerville, lui aussi tombe amoureux de la jeune fille pendant que le commissaire du peuple se borne, lui, à tomber dans les soutes à charbon dont il ressortira noirci à souhait au finale du premier acte, qui nous montre tout l'équipage du cuirassé alerté parce qu'on a perdu le haut commissaire.
Un haut commissaire, on nous l'a chanté au premier acte, c'est « un monsieur qui serre, qui serre »... qui sert à rien, répètent en sourdine les chœurs. Il faut des économies et les vingt sept centimes d'erreur que l'on avoue dans la comptabilité du bord font scandale. Mais lorsque tout le monde sera au Caire, l'opinion du haut commissaire de la République sur les dépenses se sera quelque peu modifiée. Il faut vous dire, en effet, qu'au moment même de partir en permission pour la Noël, le Montesquieu recevant la visite du haut commissaire a dû réappareiller et prendre la mer dans la direction d'Alexandrie où auront lieu de grandes manœuvres navales. En attendant, le haut commissaire ne rêve plus que bals, soirées et réceptions orientales, car il est tombé dans les filets d'une comédienne, Sola Myrrhis des « principaux théâtres d'Egypte ». Sola Myrrhis n'a qu'une idée : devenir la maîtresse du député Puy Pradal, futur ministre qui, naturellement, la fera entrer à la Comédie-Française. Pendant ce temps, le commandant Gerville et l'enseigne Kermao se disputent, non sans élégance, le cœur de la jeune secrétaire Béatrice. Celle-ci évidemment penche vers le jeune Kermao, tandis que son père n'hésite point à la promettre au commandant Gerville. Mais Béatrice, pour l'instant, est toute à sa fureur de voir tomber son père dans les grilles de Sola Myrrhis qui a pris place sur le Montesquieu qui ramène tout le monde en France. Mais Kermao se dévouera pour prouver au haut commissaire l'inconstance de la comédienne ; le commandant Gerville toujours très chic comprendra que la quarantaine le met en quarantaine et c'est lui qui se décidera à demander au haut commissaire la main de Béatrice pour Kermao.
Qu'importe du reste au haut commissaire dont la fille a rédigé le rapport dont il était chargé, puisqu'un sans-fil du président de la République lui apprend qu'on le réclame dans une nouvelle formation ministérielle pour l'intérieur, le travail, les pensions, l'instruction ou les beaux-arts, pour n'importe quel ministère enfin, sauf, chose étrange, celui de la marine.
Sola Myrrhis débarquée sera tout de même embarquée à la Comédie-Française où elle pourra continuer à voyager. Béatrice épousera Kermao, Gerville retrouvera à Toulon une vieille maîtresse insupportable et tout le monde sera heureux de débarquer après un coup de brouillard qui a suffi à montrer au haut commissaire les dangers de collision qui peuvent subsister en mer, et de nombreux coups de roulis qui auront jeté de droite et de gauche tous les personnages.
(programme de la création)
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Une telle pièce ne peut guère être analysée sans qu’un simple raccourci n'enlève au sujet toute la saveur qui fait son charme. Comment, en effet, décrire en quelque mots une suite de scènes dont l'intérêt vaut surtout par leur enchaînement et par la façon très étudiée avec laquelle sont présentés les personnages ? Toute l'intrigue qui se déroule durant les trois actes évolue autour d'une mission d'enquête confiée par le gouvernement au député Puy-Pradal en vue d'effectuer des économies sur le budget de la marine. Puy-Pradal, accompagné de sa fille Béatrice qui lui sert de secrétaire, s'embarque à bord du cuirassé Montesquieu, où, bien loin de réaliser des économies, il pousse au contraire le commandant du navire à des dépenses superflues, qu'en qualité de commissaire du gouvernement il juge indispensables. Au cours de sa croisière, le député se laissé en outre séduire, lors d'une escale en Egypte, par les charmes d'une actrice en tournée, Sola Myrrhis, tandis que sa fille Béatrice, courtisée à la fois par le commandant du vaisseau et par l'enseigne Kermao, devient, au dénouement, la fiancée de ce dernier dont elle a fini par s'éprendre.
Pour cette opérette, empreinte de verve autant que de fantaisie de bon aloi, M. André Messager a composé une partition dans laquelle se révèle la parfaite maîtrise du musicien. La musique y exprime toujours de la façon la plus subtile, les effets scéniques qu'elle souligne avec des accents justes. La ligne mélodique, très pure et très souple, infiniment plaisante, est mise en valeur par une pâte harmonique qui, sans recherche et sans affectation, présente sans cesse un caractère d’incontestable distinction. L'orchestration, assez sobre mais parfaitement équilibrée, renferme certains mélanges de timbres dont l'effet ne manque pas d'être séduisant. Dans le franc succès remporté par cette musique délicate, peut-être faut-il voir une tentative de réaction du goût en faveur de la véritable opérette, c'est-à-dire de celle qui est restée dans la tradition bien française.
L'interprétation est digne des meilleurs éloges. M. Raimu a composé un Puy-Pradal remarquable de justesse et de vérité ; Mlle Marcelle Denya, de l’Opéra, s'est révélée, dans le rôle de Béatrice, une excellente comédienne ; Mlle Maguy-Warna, MM. Robert Burnier et Pierre Magnier incarnèrent excellemment les personnages qu'ils représentaient. Aux applaudissements mérités que recueillirent tous les artistes, associons une mise en scène qui, réglée par M. Albert Carré, comporte autant de trouvailles heureuses que de mouvement et de vie.
(M. Pitoy, le Ménestrel, 05 octobre 1928)
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Le député radical socialiste Puy-Pradal envoyé en mission d'enquête sur le cuirassé Montesquieu se fait accompagner de sa fille Béatrice. Tout aussitôt, un capitaine de frégate et un enseigne se mettent à courtiser celle-ci tandis que le parlementaire s'éprend d'une actrice. Béatrice donnera sa préférence à l'enseigne, et Puy-Pradal fera engager l'actrice à la Comédie-Française. Tout cela au milieu de scènes d'un charmant comique. M. André Messager a écrit pour cette opérette toute une suite de pages gracieuses et pleines d'agrément. C'est une partition légère, fine, pleine d'esprit et de fraîcheur : on retiendra sans doute la romance Ce n'est pas la première fois, le duo du roulis, celui de Béatrice et de l'enseigne, et aussi les couplets du haut commissaire.
(Larousse Mensuel Illustré, novembre 1928)
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Coups de roulis, version cinématographique de Jean de la Cour (1931) avec Edith Manet (Béatrice), Lucienne Herval (Sola Myrrhis), Max Dearly (Puy-Pradal), Pierre Magnier (Gerville) et Roger Bourdin (Kermao)
Acte I. Duo du roulis
BÉATRICE Qu'ai-je donc ? Je suis comme grise, Et mes pas sont mal assurés, je suis étourdie par la brise, Mon petit cœur est chaviré !
KERMAO C'est que le bateau vient d'atteindre Un endroit fertile en remous, Pourtant, vous n'avez rien et craindre Tant que je serai près de vous !
BÉATRICE C'est comme un vertige, Un vertige qui me prend soudain !
KERMAO Donnez-moi la main, Que je vous dirige...
BÉATRICE Un léger nuage vient voiler mes yeux...
KERMAO C'est l'effet curieux d'un premier voyage.
BÉATRICE Je chancelle ! Je pâlis ! Je chancelle ! Je pâlis !
KERMAO Ce n'est rien, mademoiselle, Ce n'est rien, mademoiselle, Ce n'est rien, ce n'est rien... C'est un coup de roulis
BÉATRICE Je me sens de plus en plus drôle ! Excusez, monsieur l'aspirant, Si je m'appuie sur votre épaule Et si par le cou je vous prends.
KERMAO Oh ! faites donc, mademoiselle, Appuyez-vous encore un peu : Vous pouvez compter sur mon zèle Pour vous soutenir de mon mieux.
BÉATRICE C'est comme un vertige, un vertige Qui me prend soudain !
KERMAO Vous tremblez en vain, Ce n'est rien, vous dis-je.
BÉATRICE Je suis affaiblie, Je ne vois plus rien !
KERMAO Grand Dieu, qu'elle est bien ! Comme elle est jolie !
BÉATRICE Je chancelle ! Je pâlis ! Je chancelle ! Je pâlis !
KERMAO Ce n'est rien, mademoiselle, Ce n'est rien, mademoiselle, Ce n'est rien, ce n'est rien... C'est un coup de roulis
[ BÉATRICE [ Je pâlis, je chancelle ! [ Je pâlis, je chancelle ! [ Je chancelle, je pâlis !... [ [ KERMAO [ Ce n'est rien, ce n'est rien ! [ Ce n'est rien, ce n'est rien ! [ C'est un coup de roulis... de roulis.
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Acte II. Romance
KERMAO Pardonnez un moment d'émoi, Une minute de folie... Je vous sentais tout près de moi Et si jolie ! Mes yeux contemplaient tant d'attraits, Tant de beautés, tant de merveilles, Et puis ma bouche était si près De votre oreille ! Que voulez-vous, j'étais grisé ! Excusez-moi d'avoir osé Vous voler ce petit baiser...
Ce n'est pas la première fois — L'amour a toutes les audaces — Que, malgré vous et malgré moi, Je vous embrasse. C'est mal, je n'avais pas le droit, Mais tout autre que moi En eût fait autant à ma place ! Je vous l'ai caché, mais je dois, Aujourd'hui, vous le dire en face : Si, mon amour, je vous embrasse... Ce n'est pas la première fois !
L'autre jour, sur le cuirassé, Vous n'en avez pas souvenance, Dans mes bras vous avez glissé Sans connaissance. J'ai, tenant votre corps charmant, Commis un abus de confiance, Et j'ai eu moi-même un moment De défaillance ! Je me penchai comme ceci Et, c'est honteux d'agir ainsi ! Je vous ai embrassée ici !
Ce n'est pas la première fois — L'amour a toutes les audaces — Que, malgré vous et malgré moi, Je vous embrasse ! C'est mal, je n'avais pas le droit Mais tout autre que moi En eût fait autant à ma place ! Je vous l'ai caché, mais je dois Aujourd'hui vous le dire en face : Si, mon amour, je vous embrasse, Ce n'est pas la première fois !
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Acte I. Couplets "Quand on n'a pas le pied marin" Gaston Nelson (Pinson, créateur) et Orchestre Pathé X 2177, mat. N 201382-1, enr. le 19 novembre 1928
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Acte I. Couplets "Quand on n'a pas le pied marin" Gaston Nelson (Pinson, créateur) et Orchestre dir. Pierre Chagnon Columbia D 19140, mat. WL 1297, enr. le 13 novembre 1928
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Acte I. Duo du roulis "Qu'ai-je donc ?" Maguy-Warna (Béatrice), Robert Burnier (Kermao, créateur) et Orchestre Pathé X 2178, mat. N 201383-1, édité sur Salabert 861, mat. NS 1955, enr. le 19 novembre 1928
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Acte I. Duo du roulis "Qu'ai-je donc ?" Marcelle Denya (Béatrice, créatrice), Gaston Nelson (Kermao) et Orchestre dir. Pierre Chagnon Columbia D 19140, mat. WL 1298, enr. le 13 novembre 1928
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Acte I. Duo du roulis "Qu'ai-je donc ?" Germaine Féraldy (Béatrice), Henri Le Clézio (Kermao) et Orchestre dir. Jean Jacquin Columbia RF 60, enr. en 1930
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Acte I. Finale "En amour, il n'est pas de grade" Robert Burnier (Kermao, créateur) et Orchestre Gramophone L 690, mat. 232289, enr. le 19 octobre 1928
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Acte I. Finale "En amour, il n'est pas de grade" Roger Bourdin (Kermao), Chœurs et Orchestre dir. Paul Minssart Odéon 166.533, mat. KI 5373-1, enr. en 1931
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Acte II. Couplets "Avec la danse" Marcel Carpentier (Puy-Pradal) et Orchestre Pathé X 2177, mat. N 201387-1, enr. le 19 novembre 1928
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Acte II. Couplets "Donnant, donnant" Maguy-Warna (Sola Myrrhis, créatrice) et Orchestre Pathé X 2179, enr. en 1928
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Acte II. Romance "Ce n'est pas la première fois" Robert Burnier (Kermao, créateur) et Orchestre Pathé X 2178, mat. N 201385-1, édité sur Salabert 861, mat. NS 1857, enr. le 19 novembre 1928
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Acte II. Romance "Ce n'est pas la première fois" Robert Burnier (Kermao, créateur) et Orchestre Gramophone L 690, mat. 232290, enr. le 19 octobre 1928
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Acte II. Romance "Ce n'est pas la première fois" Roger Bourdin (Kermao) et Orchestre dir. Paul Minssart Odéon 166.533, mat. KI 5371, enr. en 1931
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Acte II. Couplets "Tous les deux me plaisent" Marcelle Denya (Béatrice, créatrice) et Orchestre dir. Pierre Chagnon Columbia D 19138, mat. WL 1300, enr. le 13 novembre 1928
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Acte III. Rondeau "Les hommes sont bien tous les mêmes" Marcelle Denya (Béatrice, créatrice) et Orchestre dir. Pierre Chagnon Columbia D 19138, mat. WL 1299, enr. le 13 novembre 1928
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Acte III. Rondeau "Les hommes sont bien tous les mêmes" Maguy-Warna (Béatrice) et Orchestre Pathé X 2179, enr. en 1928
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