Guillaume LIVET

Guillaume Antoine François Marie LIVET dit Guillaume LIVET

auteur dramatique français

(18 quai de Béthune, Paris ancien 9e, 24 janvier 1856* – hôpital Lariboisière, Paris 10e, 16 avril 1919*)

Fils de Charles Louis LIVET (Château-la-Vallière, Indre-et-Loire, 10 janvier 1828* – Montpellier, Hérault, 28 décembre 1897), érudit [fils de Guillaume LIVET (Villevêque, Maine-et-Loire, 24 février 1783 – Saint-Mathurin-sur-Loire, Maine-et-Loire, 15 mai 1852), grenadier de la Garde Impériale, et frère d’Alexandre Eugène LIVET (Vernantes, Maine-et-Loire, 13 août 1820* – Nantes, Loire-Atlantique, 22 août 1913*), éducateur], et d’Antoinette de ROCHEMONT (1831 – ap. 1897), mariés à Nevers (Nièvre).

Epouse à Paris 8e le 06 octobre 1897* Marguerite BARATTE (Roanne, Loire, 16 janvier 1875* – Paris 9e, 13 avril 1944*), fille de Victor BARATTE (Rocroi, Ardennes, 09 novembre 1835* – Paris 8e, 07 octobre 1904*), capitaine d'infanterie.

Prix de philosophie au Concours général, docteur en médecine, chef de clinique, il a fait représenter au théâtre : le Mariage de Racine (1883) ; A travers la porte (1884) ; les Petits Pois (1884) ; Chez les Martin (1885) ; Théodora à Montluçon (1885) ; Il reviendra (1886) ; le Mauvais Pendu (1893). Il a collaboré à divers journaux et publié des romans : les Récits de Jean Féru (1885) ; l’Amour forcé (1895).

En 1897, il habitait 19 avenue Victor-Hugo à Paris 16e. Il est décédé en 1919 à soixante-trois ans, domicilié 10 rue Charles-Nodier à Paris 10e. Il est enterré au cimetière parisien de La Chapelle (5e division).