Henry ROBERT

 

 

 

 

Henri ROBERT dit Henry ROBERT

 

artiste lyrique français

(Videt, Saint-Mary-le-Cros [auj. Ferrières-Saint-Mary], Cantal, 13 mai 1889* – Paris 2e, 13 novembre 1963*)

 

Fils de Jean ROBERT (Saint-Mary-le-Cros [auj. Ferrières-Saint-Mary], 16 juillet 1858 – av. 1931), cultivateur, et d'Antoinette CHALIER, ménagère (Vieillespesse, Cantal, 14 septembre 1867 – ap. 1931), ménagère, mariés à Vieillespesse le 07 novembre 1888.

Epouse 1. à Haudivillers, Oise, le 19 mars 1917 Marie-Louise PLÉ (Berneuil-en-Bray, Oise, 24 août 1899 – Haudivillers, 06 juin 1930) ; parents de Jean ROBERT (1925 – janvier 1941) et de Geneviève ROBERT (1930 – 30 mars 1945).

Epouse 2. à Clichy, Seine [auj. Hauts-de-Seine], le 02 juillet 1931* Alice CRAPET (1896–1932), mezzo-soprano.

Epouse 3. à Paris 2e le 27 décembre 1938* Irène CAVAILLÈS dite Suzanne ROBERT (1909–1989), soprano.

 

 

Il chanta au Palais Garnier, où il fut également régisseur des Chœurs.

En 1931, il habitait 52 boulevard de Lorraine à Clichy ; en 1938, 24 rue de Gramont à Paris 2e, où il est décédé en 1963 à soixante-quatorze ans.

 

 

 

Sa carrière à l'Opéra de Paris

 

Il y chanta Thaïs (un Cénobite, 1931) ; Castor et Pollux (un Spartiate, 1935) ; Gwendoline (un Danois, 1942) ; le Drac (un Pêcheur, 1942).

 

 

 

 

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